1039 shaares
Selon les éléments recueillis, plusieurs des individus mis en cause auraient été rémunérés pour leurs actes. Le profil de l’un d’eux attire l’attention : ancien gérant de la société de sécurité, dont le contrat avec Atosca aurait été rompu quelques jours avant les attaques, il aurait néanmoins coordonné les expéditions. Sa motivation reste floue.
Ce chantier est l'exemple chimiquement pur de l'indécence.