Intéressante action coordonnée par un ensemble d'entreprises en soutien aux revendications des mécaniciens suédois de Tesla.
Une coalition de luttes locales et paysannes, d'organisations nationales écologistes et sociales, de sections syndicales et de comités locaux des Soulèvements de la terre appelle à quatre jours de mobilisations du 9 au 12 décembre contre Lafarge et le monde du béton
Les multinationales pétrolières ne font rien d’autre que de reporter leur responsabilité sur nous tous. Alors que nous devrions nous poser la question : qui décide de l’organisation des systèmes de production et des infrastructures à l’origine de la crise climatique ? Car ce n’est certainement pas nous. Il ne s’agit pas des travailleurs qui consomment du carburant pour se rendre au boulot tous les jours.
Lisons nos confrères du Journal d’ici : « De même que les Palestiniens sont d’abord victimes du Hamas, le désenclavement du bassin Castres-Mazamet est devenu l’otage des écoterroristes. » Rien de moins. L’hebdomadaire régional en question est détenu par Pierre Fabre, fondateur local d’un groupe pharmaceutique et grand promoteur de l’autoroute A69 devant relier Castres et Toulouse : ceci explique sans doute cela. Quelques jours plus tôt, après que des militants écologistes ont mis fin à une longue grève de la faim — et, pour certains, de la soif —, une mobilisation réunissait 10 000 manifestants. Elle a donné lieu à la création, éphémère, d’une ZAD pour empêcher la réalisation dudit projet autoroutier en région Occitanie. L’économiste et militante altermondialiste Geneviève Azam, soutien des Soulèvements de la Terre et autrice, en 2019, d’une Lettre à la Terre, suit de longue date ce projet inutile et imposé. Elle nous raconte.
Le Choeur des esclaves coupe la chique à la chef !