Souriez ou ne souriez pas, vous serez quand mêmes filmé·es, et même analysé·es !
AmnestyFrance
Mai 2026, en France. Un lycéen, un CPE, et une femme sont confrontés à une nouvelle réalité : la reconnaissance faciale. Lorsque les technologies de surveillance envahissent nos vies, que reste-t-il de nos libertés ?
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Notre court-métrage « Dans leurs yeux » met en scène les possibles dérives de la reconnaissance faciale si elle s’installait dans notre quotidien. L’alerte est réelle : la reconnaissance faciale pourrait bientôt arriver en France où le recours aux technologies de surveillance se multiplie.
La reconnaissance faciale menace notre vie privée, accentue les discriminations, porte atteinte à nos libertés fondamentales.
Il suffit d’un seul réglage pour activer la reconnaissance faciale sur certaines caméras. Et il suffit d’une seule loi pour interdire cette technologie.
✍️ Signez notre pétition demandant une loi pour interdire l'utilisation de la reconnaissance faciale en France : https://www.amnesty.fr/petitions/la-france-ne-doit-pas-devenir-la-championne-de-la-surveillance
👀 Découvrir les expérimentations de reconnaissance faciale en France : https://www.amnesty.fr/actualites/france-technologies-de-surveillance-reconnaissance-faciale
👉 Tout savoir sur les dangers de la reconnaissance faciale : https://www.amnesty.fr/actualites/reconnaissance-faciale-neuf-questions-pour-comprendre
👉 JO 2024 : De la vidéosurveillance algorithmique à la reconnaissance faciale, il n'y a qu'un pas : https://www.amnesty.fr/liberte-d-expression/actualites/jo-paris-de-la-videosurveillance-algorithmique-a-la-reconnaissance-faciale-il-n-y-a-qu-un-pas
OK. Génial.
Si tu as besoin de passer par les zones "grises" à Paris durant #Paris2024, tu seras soumis à une enquête administrative.
Et si tu as besoin de passer par une zone soumis au #QRCode, chaque fois que tu seras scanné, ta localisation sera enregistrée.
Grève, occupation, manifestation… Pour obtenir leur régularisation, les travailleurs sans papiers des chantiers des Jeux Olympiques pointent la responsabilité des donneurs d’ordres, géants du BTP, qui « se lavent les mains » des pratiques de travail illégal de leurs sous-traitants et de leurs conditions de travail. Jeudi 1er décembre, une douzaine d’entre eux occupaient le chantier de l’Arena 2, au nord de Paris, dont la livraison ne cesse de prendre du retard.