Je n’ai jamais su comment agir politiquement. Ni quoi faire, ni avec qui. C’est un problème banal : quand on veut tout changer, par où commencer ? Quel moyen d’action choisir, qui serait utile tout en respectant les contraintes personnelles du moment ?
[...]
J’habite Montreuil, une ville avec un tissu associatif et militant très dense. J’y ai rencontré des personnes passionnantes, et en 2022, une amie m’a proposé de rejoindre un groupe dont elle faisait partie, les Bons petits légumes. C’est un collectif anticapitaliste qui travaille l’autonomie alimentaire et l’auto-gestion, notamment via des récupérations de légumes et la gestion d’un camion collectif. Un réseau d’entraide, très intégré dans le milieu militant de la ville, qui met en relation des collectifs et facilite leurs activités.
Un exemple d'une action clairement politique mais surtout solidaire, vectrice de liens, d'échanges et de beaucoup d'humanité !
Il est "hors de question d'imaginer que les Restos puissent fermer la porte ou que les bénévoles doivent renoncer à aider celles et ceux qui se présentent", selon Aurore Bergé. Face aux difficultés financières rencontrées par l'association d'aide alimentaire, la ministre des Solidarités a annoncé, dimanche 3 septembre sur TF1, que "dans les prochains jours, 15 millions d'euros (...) seront mis sur la table" pour aider les Restos du cœur "à passer cette période et s'assurer que les Français les plus modestes soient accompagnés".
Tu vois, ta responsabilité, Aurore, c'est d'aller chercher chez tes potes (et ceux de Bruno) l'argent qu'ils nous volent plutôt que lâcher un peu de nos impôts pour essayer de sauver une association qui ne devrait même pas exister dans notre pays.
Baltringue.