Le matos brûlé par les gendarmes à Redon, c’est comme les livres brûlés par les nazis pour cause de culture dégénérée
Bah oui !
DOIT-on en rêver ? Bah non ! Il faudrait que ça devienne réelle !
Il faudrait quelquefois sortir la tête de l’eau, respirer un grand coup et on pourrait alors considérer la situation : nous sommes tous assignés à résidence. Mais il ne viendrait à l’idée de personne d’affirmer que la France vit sous un régime de dictature, alors même que ses habitants sont privés depuis une semaine de la liberté la plus évidente qui soit : celle d’aller et de venir. Et, depuis la parution au Journal Officiel de la loi instituant pour deux mois (renouvelables) « l’état d’urgence sanitaire », de quelques autres, que certains jugeront annexes, mais pour lesquelles on a commis autrefois quelques révolutions : la liberté de réunion, la liberté de posséder, la liberté d’entreprendre… Il nous reste encore les libertés de penser et d’expression. Profitons-en !