Je me mets ça de côté
Un logiciel qui permet de transformer pratiquement n'importe quel vieil appareil photo ou caméra (compatible avec l'antique gphoto2) en webcam.
(via https://nicolas-delsaux.hd.free.fr/Shaarli/shaare/NyxJHA)
(Permalink)
Publiez, éditez et partagez vos contenus
YesWiki est un outil libre et convivial pour construire des plateformes de partage et de collaboration en ligne.
Hey ?
Mais #YesWiki a lancé son nouveau site !
Grâce à un beau travail collectif (mené principalement par Mélanie, Audrey et Louise je pense).
Plus simple, plus clair, plus sympa, (avec de chouettes illustrations de @miko@piaille.fr), j'espère qu'il vous plaira aussi !
Et sinon #YesWiki, c'est surtout un outil génialissime pour créer un site web orienté autour de la coopération, du partage et de l'échange et le tout en #NoCode !
Essayez-le !
Entre le rejet radical, difficilement soutenable, du numérique et la soumission décomplexée au monde packagé tout puissant et séduisant des GAFAM, que faire ? Dans son "Eloge du bug", sous-titré "Être libre à l’époque du numérique, le philosophe Marcello Vitali-Rosati ouvre une alternative en nous invitant à soulever le capot pour nous réapproprier les outils du numérique. Le bug, en ce sens, serait moins un ennui qu’une brèche par où peut s’engouffrer un processus d’émancipation critique , certes fastidieux, lent et imparfait mais indispensable à notre reconquête d’autonomie.
Quand on choisi de parler de libre plutôt que d’open source, c’est pour insister sur les aspects politiques et philosophiques, plus que sur le modèle de développement. C'est une façon de signifier que ce qui importe, ce n’est pas le logiciel, mais l’humain. Cette logique, quand on en déroule les implications, explique les compromis faits par les licences libres plus ou moins permissives. Pourtant, elle semble se heurter fermement à des limites arbitraires dans la pensée libriste majoritaire, que cette présentation se propose de remettre en question pour parler clairement d'émancipation.
Je suis intéressé par les questions du numérique éthique ; j'en fais part depuis longtemps. Le terme "éthique" ne me satisfaisait que très moyennement. J'estimais ça mieux que "responsable", mais ça matchait pas.
Par les discussions avec un ami (engagé sur le projet #Yunohost) et par cette vidéo
https://video.passageenseine.fr/w/aMgtihUgmjnLfzqCSM4cEG de la conf de @p4bl0 à #PSES2024, je comprends mieux l'importance du terme "émancipateur·trice" et les enjeux liés (mieux vaut tard que jamais). Merci de me faire grandir !
Selon Wikipédia, « La résistance (ou aversion) au changement ou immobilisme, consiste à désirer, et tenter d’obtenir par diverses formes de comportements d’opposition, le maintien du statu quo par procrastination ». Michel Crozier, sociologue des organisations (et grand ami du capitalisme triomphant), la définit comme « l’expression raisonnable et légitime des risques que comporte le changement pour les acteurs », introduisant deux notions (raisonnable et légitime) qu’il n’est pas inutile d’interroger : dans un contexte de transition subie (le dérèglement climatique, par exemple), la résistance est-elle raisonnable et légitime ?
Quelques précisions de vocabulaire : une contre-histoire, c’est une histoire qui remet en question le discours dominant, en l’occurrence ici, celui du système patriarcal dont l’un des effets est d’invisibiliser, ignorer, la moitié de la population .
Et pour identifier la place des femmes dans le numérique, je vous invite aussi à aller voir le site https://nowebwithoutwomen.com/
Le numérique a pris une place primordiale dans nos sociétés, parfois avec joie, parfois avec des contraintes imposées. Dans le cadre de projets collectifs où la plupart des participant·es sont à distance, avec des rythmes différents, les outils numériques trouvent leur place et leur légitimité.
Ceci est un article que j'ai écrit dans le cadre du MOOC (R)évolutions Locales du Mouvement Colibris. Je le partage ici, CC-BY Colibris et bibi !
Comment protéger ses libertés en milieu numérique "hostile"
Une excellente présentation sur le pourquoi le logiciel libre ne peut se limiter à lui-même et pourquoi il faut avoir un oeil critique sur le numérique, fut-il libre !C
Les bons conseils de @Framasky concernant les extensions #firefox
L’écologie a beaucoup à apprendre de l’échec du mouvement pour le logiciel libre. Celui-ci, perçu avec raison comme étant un combat moral s’opposant à la privatisation et la marchandisation des communs, s’est mué en open source, un mouvement très similaire, mais mettant en avant l’aspect technique afin de ne plus remettre en question l’aspect mercantile et la philosophie capitaliste.
Par sa volonté de décentralisation, le logiciel libre est présenté comme porteur de valeurs anarchistes, et parfois vilipendé par certaines institutions pour cela. Mais pour autant que les méthodes de travail puissent être reliées à des pratiques libertaires, voire revendiquées comme telles, peut-on réellement considérer qu’il en adopte toutes les valeurs, les ambitions et le message politique ?
Framatophe vous propose ici de retracer un peu la façon dont les mouvements du logiciel libre et des mouvements anarchistes se sont côtoyés au fil des ans et, surtout, comment ils pourraient mieux apprendre l’un de l’autre.
Le logiciel libre, tout le monde s'en fout, sauf les libristes.
Simple.
Un logiciel libre, c'est comme un orgasme : quand t'es pas sûr que c'en est un, c'en est pas un.
Basique.
Les gens comptent plus que les logiciels, même libres.
Simple.
Le logiciel libre et l'open source, c'est les mêmes logiciels mais pas les mêmes intentions.
Basique.
On peut multiplier les copies d'un logiciel mais pas les gens qui le développent.
Simple.
Les meilleur·e·s devs aiment libérer leurs codes sources mais des fois ils préfèrent l'argent.
Basique.
Les impôts ne financent jamais des logiciels libres, sauf quand les administrations le veulent très fort.
Simple.
Si certains logiciels libres sont moches, c'est qu'aucun designer n'y contribue.
Basique.
C'est pas parce que ton smartphone est sous GNU/Linux que tu regardes pas des vidéos débiles.
Simple.
Les politiques ne connaissent rien au logiciel libre parce qu'ils ne connaissent rien aux logiciels.
Basique.
Si t'en as marre de contribuer au libre sans être payé·e, arrête.
Simple.
C'est pas en développant des logiciels libres que tu vas renverser le capitalisme.
Basique.
Le solutionnisme n'est pas la solution, même avec des logiciels libres.
Simple.
Être cool, c'est bien, être libre, c'est mieux.
Basique.
J'ai mis à jour mon article sur les moteurs de recherche en ajouter zoTop, le metamoteur libre proposé par Zaclys !
"Si c'est gratuit, c'est toi qui produis"
Cet adage viendrait remplacer efficacement le "si c'est gratuit, c'est toi le produit".
En effet, les logiciels libres sont gratuits et en ce sens, oui, nous les produisons. Et nous produisons à l'intention d'un Commun, au bénéfice de tous. Ici, je vois ça comme une bonne action.
Dans le cas des GAFAM ou de toute entreprise privée et privative, nous produisons à l'intention du propriétaire uniquement. Et là, produire, travailler, sans être rémunéré... on se dit mince, non ?
Très intéressant comparatif fonctionnel des outils de visioconférences #OpenSource
pour choisir au mieux votre outil parmi #BBB, #Jitsi ou #NextCloudTalk
Du #LogicielLibre pour arrêter avec Teams ou Zoom !
Découvrez #Mobilizon, l'outil libre et respectueux développé par Framasoft pour défacebookiser vos événements !
Créons-y des groupes et mobilisons-nous !
Où l'on apprend donc que le code source de #StopCovid ne sera pas un #LogicielLibre, ni même complètement #OpenSource, certains codes resteront cachés et donc non divulgués aux péquins.
Ni confiance, ni transparence, ça promet...
EPP is trying to destroy Pirates' efforts to use Free Open Source Software | | European Pirate Party
Nous, Pirates, voulons vous informer que le Parti populaire européen (PPE) au Parlement Européen tente de détruire les efforts des Pirates pour encourager les institutions européennes à développer des logiciels libres et open source accessibles au public, ce qui augmenterait la transparence, réduirait les coûts administratifs, augmenterait la sécurité et la qualité des métadonnées, et éviterait les effets de verrouillage des fournisseurs.