La collecte et le traitement des données à caractère personnel de la nature de celles mentionnées au I de l'article 6 de la loi du 6 janvier 1978 susvisée relatives à la prétendue origine raciale ou ethnique, aux opinions politiques, philosophiques ou religieuses, à l'appartenance syndicale, à la santé ou à la vie sexuelle ou l'orientation sexuelle ne sont possibles qu'en cas de nécessité absolue pour les seules fins et dans le strict respect des conditions définies au présent décret, dans les limites des nécessités de la mission au titre de laquelle elles sont collectées. Elles ne peuvent être saisies que dans la zone mentionnée au V de l'annexe au présent décret. Il est interdit de sélectionner une catégorie particulière de personnes à partir de ces seules informations.
OKLM, la police aura donc un fichier permettant d'enregistrer les orientations politiques, religieuses, sexuelles, syndicales ou de santé...
Bref, toutes les données hyper-sensibles seront enregistrables dans un fichier policier...
Hecto Balderas, procureur général du Nouveau-Mexique (États-Unis), a poursuivi Google, ce jeudi, affirmant que le géant utilise sa gamme de produits éducatifs pour espionner les enfants et leurs familles.
Le procureur général de l'État américain a déclaré que #Google happait les données des étudiants, récoltant ainsi leurs données de localisation, les historiques de navigation, leurs enregistrements audio ainsi que toutes autres informations personnelles à leur insu et sans l'autorisation de leurs parents.
des élèves, des chômeurs, des utilisateurs de Chrome ou des services Google, des visiteurs de sites utilisant #Analytics etc etc.
Barclays a testé un logiciel de #surveillance individualisé sur une division d'employés de sa banque d'investissement. Vendu comme logiciel d'aide à la productivité par ses développeurs, il conseillait notamment à des employés « d'éviter les pauses ».
Interrogé par le député LREM Julien Borowczyk sur les capacités des autorités face aux nouvelles applications comme Snapchat, WhatsApp, Instagram et bien d'autres, Christophe Castaner a relevé quatre moyens d’action. Dont l’usage possible de backdoors (ou portes dérobées).
Non, mais juste, non.
On vous a déjà expliqué que fragiliser les éléments de sécurisation n'est pas une bonne idée...
Demandez à #Huawei...
Reconnaissance faciale dans le tram de Nice, géolocalisation dans les rues de Lannion et commerce des données par La Poste. Dans son livre-enquête, le journaliste Olivier Tesquet raconte comment la France bascule dans le capitalisme de surveillance.
« À l’heure où la reconnaissance faciale investit nos visages, où les assistants vocaux intelligents s’invitent dans nos salons, et où Instagram recompose nos rapports sociaux, est-il encore possible de se tenir à l’abri des regards ? » C’est la question qu'Olivier Tesquet nous invite à poser dans À la trace. Interview.
En juin dernier, la mairie de Lannion (Côtes-d’Armor) annonçait vouloir équiper la ville de capteurs à smartphones capables de suivre à la trace les trajets exacts des piétons. Depuis, plus un mot sur la question. L’expérience a-t-elle seulement eu lieu ? Reportage.
Tranquille, la mairie a laissé une boîte connaître tous les déplacements de ses habitants.
Cédric 0 veut un débat apaisé... mais il est déjà biaisé !
Reconnaissance faciale : une technologie française échoue à reconnaître le moindre visage à New York
Une technologie française de reconnaissance faciale échoue à reconnaître le moindre visage parmi 900 000 véhicules qui passent chaque jour à New York
Tu m'étonnes que @cedric_o tienne à utiliser les français comme cobayes pour améliorer les performances des entreprises françaises (et de son ancien employeur)...
«Pour soutenir les industriels français, le gouvernement veut faciliter le déploiement de la reconnaissance faciale. Au grand dam de la Cnil et des associations de défense des libertés.»
Voilà où on en est, à développer des technologies néfastes aux citoyens et aux libertés "pour soutenir les industriels". Non, mais sérieusement ?
Et avec ça, vous avez quelques espoirs de voir une transition écologique réelle ? Non, on en aura une qui "soutient les industriels" et du coup, on aura rien ...