WhatsApp serait affecté par une vulnérabilité critique pouvant permettre aux gouvernements de savoir quels utilisateurs communiquent entre eux. Le chiffrement de bout en bout des messages ne semble pas compromis, mais la vulnérabilité est liée aux métadonnées (qui a contacté qui, quand, etc.) collectées par l'application. Ces données ne sont pas chiffrées, ce qui signifie qu'elles posent des risques de sécurité. Elles peuvent être capturées et stockées par la plateforme elle-même, si elle le souhaite, mais elles peuvent également être surveillées au niveau du réseau par les gouvernements ou les opérateurs disposant d'un accès approprié.
Meta va utiliser vos données personnelles sur Instagram et Facebook pour entraîner son IA (sauf si vous refusez)
https://www.lemonde.fr/pixels/article/2024/06/07/meta-va-utiliser-vos-donnees-personnelles-sur-instagram-et-facebook-pour-entrainer-son-ia-sauf-si-vous-refusez_6237864_4408996.html
Meta va utiliser vos données personnelles sur Instagram et Facebook pour entraîner son IA (sauf si vous refusez)C'est pas gagné le consentement encore, hein ... (et non, ce n'est pas légal vis à vis du RGPD...)
À un moment, c'est plus des amendes qu'il faut mettre...
Ce n'est pas une surprise me direz-vous. Mais c'est toujours bon de comprendre pourquoi !
600 milliard de $ d'amende possible. Ça commence à avoir de la gueule.
Le Texas a intenté un procès à Meta pour utilisation abusive des informations biométriques des utilisateurs, même après que la société a annoncé qu'elle allait supprimer les données faciales de plus d'un milliard de personnes. L'État américain du Texas a poursuivi Meta en justice pour avoir utilisé les données biométriques des utilisateurs à des fins commerciales sans leur consentement. Meta, anciennement connu sous le nom de Facebook, est la société mère des plateformes de médias sociaux Facebook, Instagram et WhatsApp. « La portée de la mauvaise conduite de Facebook est stupéfiante », indique la plainte, visant le géant des médias sociaux en vertu de diverses lois du Texas. Les accusations sont donc dirigées contre Facebook, qui procède à un tri biométrique automatique des photos téléchargées depuis plus de dix ans, et également contre Instagram.