Mon sblog est de retour !

Nous avons découvert que la quasi-totalité des articles mis en avant ces derniers mois par Google au sujet de l'Agirc-Arrco émanaient d'articles (hallucinés, voire mensongers) générés par IA. Sur les 10 % d'articles émanant de rédactions humaines, plus de la moitié concernaient ces fake news.
à garder en tête pour mon Yuri :)
Comment les centres de données d'IA ont été inventés... Dans une ville proche de chez vous
Toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé serait purement... Ouais, non, rien en fait...
« Elle ne le sait pas encore. Ou peut-être ne veut-elle pas l’admettre. Pas à pas, la France est sortie de la démocratie. A pas mesurés, tout d’abord, de mesures anti-migratoires en lois anti-terroristes et en mesures de contrôle numérique, sous prétexte de pandémie ou de grands événements sportifs. Depuis trois ou sept ans, selon la borne-étape que l’on choisit, elle en est sortie à grands pas, et maintenant en courant. » Une tribune du politiste Jean-François Bayart.
Le Parlement européen a été le théâtre d’un vote climaticide. Les eurodéputés ont adopté le 13 novembre le paquet législatif Omnibus, qui détricote la directive sur le devoir de vigilance des entreprises. Cette innovation historique ratifiée en 2024 rendait les multinationales juridiquement responsables de leurs conséquences sociales et environnementales à travers le monde.
Le réalisateur Henri Poulain dans son documentaire "Les Sacrifiés de l’IA", diffusé mardi sur France 2, lève le voile sur les conditions de travail de celles et ceux qui alimentent la matrice, une image bien loin de cet esprit universel espéré.
95 % n'ont pas réalisé de retours financiers sur leurs investissements IA
Le 4 Novembre dernier, Maskey, alias Mohamed, a décidé de se mettre à nu. Dans sa vidéo « J’ai passé deux ans sans papiers », l’humoriste et vidéaste raconte un cauchemar administratif vécu depuis l’intérieur : celui d’un créateur étranger, intégré, reconnu, mais broyé par la machine bureaucratique française. Ce récit, entre facecam et sketchs, joue sur le rire pour faire avaler une pilule amère : celle d’une France qui fait la leçon à ses immigrés tout en les enfermant dans des labyrinthes kafkaïens. Dans cette vidéo à la fois drôle, poignante et profondément politique, et en racontant sa propre chute, Maskey révèle la violence ordinaire des politiques migratoires françaises, celles qui ne frappent pas seulement “les autres”, mais aussi ceux qui pensaient avoir trouvé leur place. Un récit qui dévoile, avec une lucidité implacable, comment le racisme se dissimule derrière la neutralité apparente des procédures administratives et cette violence froide qui prétend appliquer la loi tout en perpétuant l’exclusion.
Comme le souligne Ed Zitron, toute la bulle actuelle est basée sur 7 ou 8 entreprises qui s’échangent des promesses de s’échanger des milliards d’euros lorsque tous les habitants de la planète dépenseront en moyenne 100€ par mois pour utiliser ChatGPT. Ce qui, pour éviter une cascade de faillites, doit arriver dans les 4 ans au plus tard.
Huhu, à lire, ne serait-ce que pour la description des réseaux sociaux des GAFAM :p
Plus de douze milliards de dollars envolés en seulement trois mois. Les pertes abyssales accusées par OpenAI au troisième trimestre ne sont pas seulement inédites pour une start-up, symbole des ambitions vertigineuses de son patron Sam Altman, lancé dans une course effrénée vers une super-intelligence. C’est aussi le plus lourd déficit jamais enregistré par une entreprise américaine – hors pertes “comptables” liées à des dépréciations d’actifs ou à des charges fiscales exceptionnelles.
Jusqu'ici tout va bien, jusqu'ici tout va bien, jusqu'ici tout va bien.
Le 28 octobre, Pauline Dens-Arsène répondait à France 3 pour évoquer l’interruption volontaire de grossesse (IVG) médicamenteuse. Alors que l’accès à l’IVG est très inégalitaire à travers le pays, la sage-femme explique proposer cet acte médical pour répondre à un manque visible dans l’Aisne.
Une fois le reportage diffusé, Pauline Dens-Arsène l’a publié sur sa page Facebook. « Une demi-heure après, mes comptes Facebook et Instagram étaient suspendus », explique-t-elle à Franceinfo.
Mesdames (et messieurs) (et encore plus si vous n'êtes ni l'un ni l'autre ou les deux), il est urgent de quitter les outils de Meta.
Le programme « Basic Income for the Arts » a été lancé en 2022. 2 000 artistes et travailleurs culturels ont été sélectionnés au hasard parmi les candidats éligibles pour participer à ce projet pilote financé par l’État. Chacun a reçu 325 euros par semaine, soit environ 1 300 euros par mois, sans condition afin de financer sa pratique artistique.
Le Revenu de Base commence à devenir une solution ?
(par contre, je suis curieux de comprendre le "sans condition afin de financer sa pratique artistique". Ça me paraît un peu antinomique, non ?
La fondation Espérance banlieues s’est récemment associée au groupe Casino (Franprix, Monoprix, Naturalia, Leader Price), pour l’opération « arrondi en caisse » : à en croire les communicants, les micro dons financeront des écoles au cœur des quartiers prioritaires (privées hors contrat), favorisant le parcours éducatif d’enfants en difficulté.
Ce que la communication ne dit pas, c’est que Espérance Banlieue est un des volets de la Fondation pour l’école (FPE) qui soutient un réseau d’écoles privées catholiques traditionalistes et hors contrat.
D’autre part, l’efficacité du vélo dépend du maintien de la vitesse. S’arrêter complètement, encore et encore, décourage l’usage du vélo, malgré ses nombreux bénéfices pour la santé, l’environnement et la fluidité du trafic.
Traiter de la même manière deux moyens de transport si différents revient donc à privilégier implicitement l’automobile, un peu comme si l’on imposait les mêmes limitations de vitesse à un piéton et à un camion.
Petite animation retraçant la vie de Bolloré
Quand les multinationales augmentent leurs effectifs, ce n’est pas forcément parce qu’elles créent des emplois, c’est souvent qu’elles rachètent d’autres entreprises.
On a laissé le champ libre à l'intelligence artificielle, en ne lui fixant aucune limite, avec comme conséquence sa mainmise sur les savoirs académiques. Désormais, nos enfants, nos adolescents, nos étudiants, s'en servent tout autant pour rédiger leurs devoirs que pour confier leurs états d'âme à des chatbots. Pire, sitôt que la pensée est sollicitée, la machine est appelée à la rescousse, fût-ce pour trouver une recette de cuisine ou établir un raisonnement philosophique. Le tout avec l'assentiment de nos responsables politiques qui, aveugles ou cupides, criminels en tout cas, se sont laissé embobiner par des marchands du temple avides d'augmenter à l'infini leurs rendements.