Tout est dit !
Réflexion autour de la valeur du travail, « Éloge de l'oisiveté » est aussi une flânerie joyeuse à la découverte des routes parallèles empruntées par ceux qui, de tout temps, échappèrent au dogme de l'activisme. Et si l'oisiveté nous mettait sur la voie d'une société plus juste favorisant l'épanouissement de chacun ?
« Il existe deux types de travail : le premier consiste à déplacer une certaine quantité de matière se trouvant à la surface de la terre ou dans le sol; le second, à dire à quelqu'un d'autre de le faire. » (Bertrand Russell)
C'est, je crois, le bon moment de réfléchir à tout ça (et ensuite, on crame tout, OK?).
Le premier président de la Cour des comptes, Pierre Moscovici dresse un constat inquiétant sur la situation des finances publiques françaises.
Mais de qui ça peut-être la faute ? Du ministre de l'économie démissionnaire ? De celui de son prédécesseur au gouvernement Borne ? De celui du gouvernement Castex ? D'Édouard Philippe ?
Ou peut-être celui, du dernier gouvernement de Hollande sous Valls ?
À moins que ce ne soit la faute du PR actuel ?
Alors, à qui la faute ?
Le RN vient de dévoiler son nouveau programme économique. Écrit pour séduire les grands patrons, il propose de s’attaquer au RSA, aux droits syndicaux et aux services publics, tandis qu’il promet de nombreuses subventions, baisses d’impôts et de charges pour les entreprises.
Je suis sûr que Marine fait bander Macron
#A69 : la dernière ZAD évacuée, les ultimes arbres sur le tracé de l’autoroute bientôt abattus – Libération
Alexandra, la locataire du dernier logement sur le tracé explique :
«Je n’en peux plus […] je n’avais pas envie de finir brûlée», a-t-elle dit, faisant référence à des incendies allumés au «Verger» ces dernières semaines
Voilà où on est pour avoir une autoroute pour les vroum-vroum.
Alors que le LR Michel Barnier réfléchit toujours à la constitution de son gouvernement, franceinfo a interrogé le chercheur, qui vient de publier l'ouvrage "La droitisation française, mythe et réalités : comment citoyens et électeurs divergent".
La Cour des comptes dresse le réquisitoire de sept ans de politique budgétaire macroniste, qui laisse la France dans une situation délicate, aujourd’hui et jusqu’en 2027.
Bah alors, c'est qui a fait une politique qui a ruiné la France, finalement ?
A la veille d’un vote crucial pour l’avenir de la démocratie française, l’économiste Michaël Zemmour commence par dresser le bilan de la politique de l’offre suivie dans l’Hexagone depuis une dizaine d’années.
Le résultat est aujourd’hui connu : une productivité en berne, un déficit commercial abyssal, des finances publiques qui dérapent. Cela n’empêche pas les économistes qui ont soutenu cette politique de venir donner de virulentes leçons de « crédibilité économique » au programme de la gauche !
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Si le pire – l’arrivée à Matignon de l’extrême droite – peut encore être évité, ce ne sera qu’un sursis supplémentaire. La gauche et la société civile mobilisées doivent désormais répondre à des questions en suspens depuis trop longtemps.
Ces images cartographiques reflètent-elles vraiment le rapport de force qui s’instaura entre les formations politiques françaises, dans la perspective des élections législatives ?
Pour analyser cela, nous proposons d’examiner la répartition des voies obtenues par le Rassemblement National à ces élections européennes, en les projetant dans les 577 circonscriptions électorales. Nous les mettons ensuite en regard des forces de gauche rassemblées aujourd’hui dans le Nouveau Front Populaire (NFP).
Si l’écologie est encore peu politique et radicale, c’est que les individus ont des intérêts trop divergents. De nouvelles alliances sociales pourraient être la solution, explique dans un livre le sociologue Jean-Baptiste Comby.
Cet article résume les chapitres 1 à 6 du livre Comment faire tomber un dictateur quand on est seul, tout petit, et sans armes (Blueprint for a Revolution), du militant serbe Srđa (ou Srdja) Popović. Le livre explique comment renverser un régime politique en utilisant la non-violence (et pourquoi privilégier cette méthode).
On n'a jamais été aussi prêt d'en avoir besoin...
Alors qu'une mobilisation d'ampleur se prépare du 7 au 9 juin contre l'A69, le pouvoir politique souhaite l'interdire. Cette tribune de soutien rappelle la nécessité de poursuivre un mouvement d'opposition créatif et massif contre un projet écocidaire qui détruirait 400 hectares de terres agricoles.
Le dossier du numéro du mois de mai de "Campagnes solidaires" intitulé "Extrême droite : donner l'alerte" à quelques jours de l’échéance électorale du 9 juin.
Ancien maire de la ville, le ministre de la transition écologique est toujours membre du conseil municipal. Une fonction pour laquelle il touche une indemnité mensuelle de 3 089,50 euros, même s’il ne participe que rarement aux séances. L’opposition demande des sanctions.
On n'avait pas dit qu'on arrêtait le cumul des mandats ?
"Mais non, c'est pas politique, le Puy-du-Fou, c'est juste de l'histoire". On l'a déjà entendu. Je viens de l'entendre à l'instant.
J'ai donc rassemblé ici quelques sources à fournir pour essayer d'apporter un autre angle de compréhension sur le projet politique caché derrière le Puy Du Fou ...
Nous vivons dans un régime autoritaire, au service d’une classe dominante capitaliste et qui adopte, tant par conviction que par stratégie, une pensée d’inspiration fasciste.
La « collapso » (ou effondrisme) est un courant idéologique dont l’influence grandit au sein des mouvements écologistes. Elle part du principe que l’effondrement écologique et social est un fait accompli, ou très probable. Outre ses effets démobilisateurs, l’effondrisme se caractérise par une connaissance parcellaire du monde, qui compromet la capacité de l’écologie à le transformer. Il est important de remettre en question le récit qu’il propose afin d’éviter que l’écologie finisse par alimenter le cercle vicieux de l’anti-politique néoliberale et, par conséquent, finisse par contribuer paradoxalement au désastre qu’il cherche à éviter.
Ritimo restitue dans cette synthèse en français les principaux arguments développés par Emilio Santiago Muiño dans son article en espagnol pour Nueva Sociedad.
T'es malade ? T'es pas productif et tu coûtes des sous. Crève.
Alors que la loi oblige les communes à proposer 25 % de logements sociaux, le Premier ministre a annoncé qu’il intégrerait à ce taux une offre destinée aux classes moyennes. Soit autant de logements en moins pour les plus pauvres.
Alors que le biopic sur l'Abbé Pierre est encore à l'affiche dans certains cinémas, #Attal va encore réduire l'offre de logement pour les plus pauvres (qui sont, elleux, de plus en plus nombreux⋅ses). Ils ont quand même le chic pour choisir systématiquement le pire timing possible !
Au delà de cette petite anecdote, c'est à nouveau une preuve du mépris total que #Macron et sa clique vouent aux personnes les plus fragiles, en contradiction avec l'esprit de "fraternité" qui demeure encore aux frontons de nos mairies. C'est pas une preuve de séparatisme, ça ?