Mon sblog est de retour !
La Nasa applique le décret de Donald Trump visant à mettre fin à toute politique de diversité, d’équité, d’inclusivité, d’accessibilité. Pour supprimer tout ce qui y fait référence, l’administration encourage à la délation des collègues impliqués dans ces programmes et qui chercheraient à poursuivre une inclusivité malgré tout. Ne pas dénoncer générera « des conséquences négatives », menace le mémo.
Côté pile, le maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc prend un arrêté pour interdire une conférence du groupuscule d’extrême droite Némésis. Côté face, son directeur de cabinet dégote une solution de repli aux militantes fémo-nationalistes.
Des émissions de Radio France ne sont plus dispos sauf via leur app pourrie ? Ça vous énerve ? Un dev nommé Aerion a développé une solution (qu'il en soit remercié) :
RSS Radio France pour tous
Le deuxième homme le plus riche du monde a un plan. Installer un nouveau régime de surveillance et de domination : avec des capteurs vidéo à bas coût, des milliers de drones, une masse infinie de données analysées constamment par une IA aux mains de l’État.
Granulaire, irrécusable, inévitable : « Nous enregistrons et signalons en permanence tout ce qui se passe, les citoyens devront par conséquent constamment faire preuve de diligence ».
Donald Trump lui a désormais alloué 500 milliards pour le mettre en œuvre avec Sam Altman et l’ingénierie financière de SoftBank.
Reconnaissance faciale en temps réel, interprétation des émotions, catégorisation des pensées religieuses, sexuelles et politiques… La France a activement milité pour que ces pratiques soient permises par « l’AI Act », le règlement européen sur l’intelligence artificielle, révèlent Disclose et Investigate Europe, documents confidentiels à l’appui.
Sans surprise, le gouvernement proto-fasciste français et nos meilleures industries de la surveillance et de l'armement ont tout fait pour que les briques légales européennes leur permette de mettre en place tout un arsenal d'outils de surveillance...
Ce 20 janvier, 5 personnalités d’associations citoyennes expliquent dans cette tribune les liens, entre médias sociaux publicitaires et les contenus haineux et négatifs. Elles appellent à aller sur des réseaux sociaux sans pub, à bloquer la publicité sur internet, à financer autrement les médias et à avoir des lois protégeant les usager·éres d’internet de ces dérives.
Sur les canaux Telegram des néonazis et des suprémacistes blancs, l’intelligence artificielle est utilisée pour générer des images de haine mais aussi de la désinformation.
Avec le soutien de Musk à Trump et aux extrêmes droites européennes, un mouvement se forme pour quitter X/Twitter. Mastodon, réseau social non lucratif et respectueux des données, est la première alternative. Rencontre avec son responsable technique.
Alors que Donald Trump, allié d’Elon Musk, le propriétaire du réseau X (ex-Twitter), s’installe à la Maison Blanche, l’inquiétude grandit concernant l’impact des grandes plates-formes américaines sur les dizaines de millions d’utilisateurs qui s’informent par leur intermédiaire. De nombreuses voix appellent à quitter ces plates-formes, mais quelles sont les alternatives ?
À l’heure où nous quittons les GAFAMS… Il faut faire. Défaire. Refaire. Construire. Déconstruire. Migrer Recommencer.
et la version française :
La langue inclusive est l’objet de vives polémiques, mais aussi de travaux scientifiques qui montrent que son usage s’avère efficace pour réduire certains stéréotypes induits par l’usage systématique du masculin neutre.
L’article va parler en détails de Mastodon et du Fédivers, et il pourra augmenter en complexité à mesure que tu cliques sur les liens qui ont une flèche dans la marge à gauche. Si tu découvres à peine, je te recommande de lire l’article entier sans déplier les blocs.
La semaine dernière, Luc Rémont, le PDG d’EDF a reçu un rapport inquiétant des ingénieurs qui travaillent sur l’EPR de Flamanville. Il dévoile un problème récurrent de vibrations trop importantes. Et indique ne pas savoir si l’EPR pourra fonctionner à pleine puissance. Révélations.
L'EPR de Flammanville. Échec sur toute la ligne (électrique).
J'aime utiliser des alias pour configurer mes accès sur différents outils/sites web. Mais si j'utilisais souvent le "+" pour créer des alias dynamique, je n'aime pas laisser mon identifiant de mail principal et parfois les formulaires n'acceptent pas le "+" dans l'adresse email.
Et accéder aux paramètres d'alias dans l'Administration d'Infomaniak nécessite un paquet de clics...
Bref, j'ai donc pondu un petit script pour gérer (pour le moment, juste rajouter) un alias sur mon mail.
Le voici brut (c'est plus pour que j'en ai une trace quelque part, j'essaierai de documenter plus ultérieurement !)
#!/bin/bash
# set -o posix
MAIL_ID="(Insérer ici l'ID mail visible juste après les caractères /ng/hosting-mail/ dans l'URL de gestion de votre comptes mails)"
MAIL_NAME="(Insérer ici l'identifiant mail -avant le @-)"
API_TOKKEN="(insérer ici votre token pour l'API)"
if [ "${1}" ]
then
ALIAS=$1
else
read -p "Entrez l'alias souhaité : " alias_choisi
ALIAS=$alias_choisi
fi
curl -X POST \
-H "Authorization: Bearer "$API_TOKKEN"" \
-H "Content-Type: application/json" \
-d '{
"alias": "'$ALIAS'"
}' \
https://api.infomaniak.com/1/mail_hostings/{$MAIL_ID}/mailboxes/{$MAIL_NAME}/aliases
WHAT COULD GO WRONG !?
Les vieux ressassent souvent que « c’était mieux avant » et que « tout se désagrège ». Le trope semble éculé. Mais s’il contenait une part de vérité ? Et si, réellement, nous étions dans une période où la plupart des services devenaient merdiques ? Et si le capitalo-consumérime était entré dans sa phase de « merdification » ?